vendredi 21 avril 2017

Et si la présidentielle de 2017 était en fait un remake de l'Euro 2016 ?

… ou comment l'Euro va se transformer en prophétie du résultat à venir de l'élection présidentielle française

Suspense, violences, scandales, coups bas et coups de génie tactiques, réseaux sociaux en fusion, sondages et parieurs à la rue, petits candidats sortis de nulle part, gros dégagés avant même le début… pour un final en forme de bras d'honneur qui ne fera que peu d'heureux et beaucoup de frustrés. Tel fut le scénario du dernier Euro disputé en France. Mais à y regarder de plus près, ce tournoi d'abord passionnant qui tournera au sketch improbable n'était-il pas annonciateur de la présidentielle à venir ? La comparaison entre les destins strictement identiques de certains participants à l'Euro et à la présidentielle nous amène à cette effroyable question :

Et si tout l'Euro avait été une prophétie de ce que nous allions vivre quelques mois plus tard ?

A partir de là...


LES « MEME PAS CANDIDATS AU TITRE »

### ESPAGNE / NICOLAS SARKOZY
- Tout le monde s'attendait au comeback du siècle après l'humiliation du tournoi précédent et les vrais-faux adieux, mais ce fut un accident industriel complet
- Affaibli et ringardisé au tour « primaire » par une équipe encore plus technique et ambitieuse que lui (cf – Croatie / Le Maire – NKM - droite bobo)
- On pensait qu'il allait marcher sur la concurrence malgré les luttes fratricides dont il a toujours su tirer partie, mais s'est fait éliminer comme un malpropre avant même que ça commence pour de vrai, cette fois-ci pour des adieux définitifs… jusqu'au prochain tournoi ?

### BELGIQUE / ALAIN JUPPE
- Un an avant le début, tous les spécialistes et les médias le voyaient déjà vainqueur.

- Tous les astres étaient alignés pour sa victoire : génération dorée arrivée à maturité, vieux sage aux commandes qui a fait ses preuves (ou pas) dans les années 90, meneur de jeu capable d'acculer des deux côtés de l'échiquier, le meilleur milieu « d'entre nous », le meilleur gardien (du Gaullisme?)
- Après une défaite initiale et des matchs en bois, les sondages le donnent toujours aussi haut pour la victoire finale, mais il subit une très lourde défaite contre le premier vrai adversaire qui aura proposé du jeu face à lui
- A dégagé un fort sentiment de ridicule après le tournoi à tel point qu'on se demande s'il y a vraiment participé…

### RUSSIE / FRANCOIS HOLLANDE
- Impopulaire et moqué de tous. Aussi inoffensif lui-même que son entourage est craint
- Traîne avec des meufs blondes pas dégueulasses
- Personne ne le voyait aller au bout, mais on pensait au moins qu'il participerait !
- Certains ont voulu l'écarter du tournoi vu son comportement mais en fait il s'est exclu de lui-même comme un grand. A permis de relancer la compétition d'encore plus mauvais que lui (cf – Angleterre / Manuel Valls)
- Pas mal d'histoires de « prises de produit » circulent autour de lui mais en fait il est seulement beaucoup trop nourri
- A envoyé ses potes pour foutre le bordel et faire oublier son absence totale de fond de jeu
- Il nous a tellement gonflé qu'à la fin on ne se souviendra que de toutes ses saloperies qu'il a faites, pas des trucs biens.

### ANGLETERRE / MANUEL VALLS
- Comme à chaque fois depuis 20 ans, il s'est pris pour le roi du monde
- Personne ne comprend s'il a une vraie vision ou une vraie tactique dans ce qu'il fait tellement ça semble parfaitement improvisé
- Beaucoup (dont lui-même) sont persuadés que c'est un « gros cador »… alors que son score cataclysmique de la dernière fois prouve le contraire
- Il était censé ne faire qu'une seule bouchée de son adversaire (Islande / Hamon) avant que ça ne se transforme en immense branlée
- Avec un peu de chance, il fera pire la prochaine fois


LES PETITS/MOYENS « CANDIDATS » AU TITRE :


### SUEDE / JACQUES CHEMINADE 
- Son score cumulé lors trois dernières participations au tournoi est absolument terrifiant de nullité
- En fait, les seuls qui savent ce qu'ils font, c'est pas sa star « invisible » qu'on voit à la télé (et qui se la pète beaucoup trop alors qu'on sait pas pourquoi...), c'est toutes les gens de son équipe
- Certains observateurs très optimistes se sont dits que cette fois-ci il pourrait réussir un (tout petit) truc, mais en fait non…
- En le voyant s'agiter compulsivement sur le terrain pour rien comme s'il faisait un AVC, on s'est presque mis à croire qu'il y avait réellement de la vie sur Mars
- Aura fait plus de bons mots qu'il n'a mis de buts/eu de voix
- Se croit victime d'une conspiration alors que c'est juste lui qui est totalement mauvais

### IRLANDE DU NORD / FRANCOIS ASSELINEAU 
- Personne ne savait qu'il existait ou même que ça pouvait participer à la compète.
- A l'origine du tube printemps/été « Frexit on fire / Your Europe is terrified / François en slip / Ton traité de Lisbonne chapitre 3, Titre V, article 8, alinéa 12-8 is terrified ».
- A la stupeur générale, sa seule bonne idée que tout le monde connaissait et qui faisait la joie du public n'est pas rentrée une seule seconde en cours de jeu. Sad
- Dans quelques années, on ne se souviendra que de la grosse caisse qu'on s'était prise dans le pub du coin lorsqu'on avait rencontré ses fans (une secte de gens tous habillés pareil, très sympas, très énervés, très passionnés mais très bourrés)

### TURQUIE / NATHALIE ARTHAUD
- Etait censée avoir plein de trucs super novateurs à nous montrer, mais en fait, non. Le score démentiel de la génération 2002 est vraiment à ranger dans la catégorie « miracle »
- Toujours le même (unique) argumentaire bidon : je garde le ballon côté gauche, le dribble l'adversaire direct, je le déborde, j'attends qu'il revienne à mon niveau, je le redribble mais je perds la balle parce qu'entre temps un gars de ma propre équipe est venu pour me mettre un tacle deux pieds décollés par derrière
- Les supporters sont toujours aussi chauds bouillants, limite secte, mais ça n'a aucun impact sur le résultat
- A fait illusion sur la fin quand elle était déjà éliminée

### POLOGNE / JEAN LASSALLE
- Etait sûrement beaucoup plus beau à regarder dans les années 70-80
- Malgré son côté totalement improbable, a fait jeu égal dans les débats contre les gros tout le début du tournoi
- Aura réussi à aller plus loin que celui qui était promis au top 8 (cf – Suisse / Bayrou)
- Offensivement, on ne comprend rien à ce qu'il veut dire
- On a eu un gros pincement au coeur juste après son élimination quand on s'est rendu compte qu'on ne le reverrait plus

### HONGRIE / PHILIPPE POUTOU
- On lui promettait l'enfer, on a voulu qu'il ne fasse même pas partie de la compétition, mais en fait il a assuré comme un chef, et est allé encore plus loin que prévu
- Les journalistes ne se sont toujours pas remis de sa tenue de merde (vieux pantalon de survet du gardien / « pyjama » du débat télé)
- malgré un jeu archaïque et ultra prévisible, est arrivé à ridiculiser les autres « petits »
- A été le seul à bousculer le futur vainqueur lors de leur confrontation, sans se débiner, en lui rappelant à quel point il était un escroquerie

### ISLANDE / BENOIT HAMON
- Pour la plupart des commentateurs, sa seule participation est le signe que l'élargissement de la compétition n'a aucun sens et qu'elle devrait être ouverte seulement aux compétiteurs « sérieux »
- A mis la misère à ses premiers adversaires, a pulvérisé son concurrent direct (cf- Angleterre / Manuel Valls)
- a tactiquement 10 ans d'avance sur tout le monde, mais sans charisme ni technique…
- S'il s'était mis à jouer comme ça cinq ans avant, il aurait sûrement eu ses chances
- Après toute une série d'exploits qui ont laissé à penser qu'il pourrait aller beaucoup plus loin que prévu, a pris une rouste dès que c'est devenu sérieux, par fatigue ou manque de panache
- Victime de buts contre son camp à répétition au très mauvais moment
- A la fin du tournoi, tous les autres lui ont piqué sa seule bonne idée, ce qui l'a profondément énervé
- Vu comme il a réussi à se faire connaître et à gagner en crédibilité en si peu de temps, est peut-être le vrai vainqueur du tournoi
- 9 mois après ses exploits, est à l'origine d'un pic de naissance parmi ses fans qui croient toujours à un « futur désirable »

### PAYS DE GALLES / NICOLAS DUPONT-AIGNAN
- Se revendique toujours d'un glorieux ancien (Best/De Gaulle) alors que ça n'a plus rien à voir du tout
- A passé toute la compétition à jouer la partition de la « petite équipe que personne n'aime, bouh, c'est pour ça que les officiels sont méchants avec moi, parce que je fais peur »
- Beaucoup pensait qu'il ne serait pas là pour « souffrir okay », mais jamais qu'il se débrouillerait aussi bien
- Vu que la partie droite du tableau final était vide, il a pu aller très loin sans problème mais n'a pas pu rivaliser face à l'expérience de son dernier adversaire (cf – Portugal / Fillon)
- Avec une pointe de charisme et d'intelligence en plus, on se dit qu'il aurait pu rêver à un autre destin (mais pas dans cette vie-là, a priori)


LE DERNIER CARRE :

### ITALIE / JEAN-LUC MELENCHON 
- Eternel concurrent capable du pire comme du franchement horrible, haï mais fasciné de tous ses adversaires pour sa verve, sa défense infranchissable, sa capacité innée à mettre des buts en infériorité numérique dans les arrêts de jeu ou à transformer un aimable match en bagarre de rue
- Arrive à trouver du bon dans certaines dictatures (Mondiaux 1934 et 38 / Cuba, Venezuela…)
- D'autres concurrents copient son système de jeu à la virgule près, mais avec des joueurs plus jeunes et plus frais. Mais la vieillesse expérimentée montre qu'elle a de très beaux restes
- A la surprise générale, ce n'est pas son habituelle version « figurant pourri » mais celle de « loser magnifique » qui a décidé d'entamer le tournoi
- Au fur à mesure du tournoi, même les spectateurs neutres se sont mis à le supporter tellement il a apporté un vent de folie
- Beaucoup se sont mis à penser qu'il était foutu d'aller au bout vu sa dynamique de campagne et cet alliage de jeunes conquérants en phase avec la modernité et vieux briscard qui connaissent toutes les ficelles du métier
- A réussi à incarner le renouveau dans les dernières semaines… comme si les cinq dernières décennies n'avaient jamais eu lieu
- Au moment de l'affrontement décisif face à la « bête immonde », on le croit capable de franchir l'obstacle vu l'improbabilité généralisée offerte par le tournoi… mais non
- Après avoir poussé l'Allemagne/Le Pen dans ses derniers retranchements, il torpille sa campagne au cours d'une séance en forme d'acte manqué… ou de bras d'honneur suprême : un ultime « merde » à ceux qui s'étaient mis à l'aimer, un ultime merde à l'Europe, un ultime merde à son camp. Chez son adversaire d'un soir, on a eu chaud même si on savait depuis le début que la prochaine révolution européenne ne serait pas socialo-tactique, elle sera physico-protectionniste

### ALLEMAGNE / MARINE LE PEN
- Cela fait plusieurs années qu'on l'annonce déjà finaliste
- A le vent dans le dos depuis sa victoire lors de la dernière échéance en date (Mondial 2014 / Régionales 2015).
- La seule incertitude c'est son adversaire en finale (vu la faiblesse des concurrents)
- A fait une campagne beaucoup trop défensive, sobre et suffisante à cause de son statut de favori 
- Malgré une possession outrageuse (80 % des actions se jouent de son côté du programme), est passée à côté de son sujet au pire des moments la faute à un adversaire qui va jouer son jeu à elle : ultra physique et hyper réaliste
- Va échouer misérablement aux portes d'une finale qui lui tendait les bras. La première très grosse surprise du tournoi
- Seule consolation pour ses fans : son horrible style de jeu sera tout de même représenté en finale

### FRANCE / EMMANUEL MACRON
- le chouchou des médias : il joue à la maison, a l'arbitrage et toute l'institution derrière lui, donc ça devait aller au bout
- mélange détonnant de jeunesse inexpérimenté blindé de thunes qui ne sait pas ce qu'elle fout là liée à une vieille personne sur le banc.
- A tout changé 200 fois en cours de compétition alors qu'il avait des mois pour le faire
- N'aura pas bénéficié de tant de largesses arbitrales que cela… sauf au meilleur moment
- Fait tout et son contraire tout le temps, est capable de complètement déjouer puis de s'en sortir par miracle en quelques minutes.
- A multiplié les ralliements opportunistes de fans en cours de compétition, y compris de concurrents, se mettant donc à dos tout le monde.
- Alors que la victoire semblait acquise et que la seule inconnue était la lourdeur du score qu'il allait infliger à son adversaire, il s'est mis à refuser le jeu et à s'écrouler au bout du suspense
- Après coup, on se demande s'il a vraiment de l'avenir, et surtout : comment a-t-il fait pour aller aussi loin sans véritable fond de jeu ?

### PORTUGAL / FRANCOIS FILLON 
- Il fait tellement de la figuration depuis des années qu'il n'était même pas dans la liste des « outsiders potentiels », seuls ses insupportables fans y croyaient depuis le début.
- a décidé dès le début d'adopter une tactique réactionnaire mais pragmatique
- a été ridicule du premier au dernier jour de la compétition, et a proposé le programme le plus austère et le plus pénible… mais avec le résultat que l'on sait
- Semaine après semaine, c'est tellement mauvais que tout le monde anticipe déjà son élimination, mais il s'en sort par miracle à chaque fois.
- a pensé un moment que le Pays de Galles allait empêcher sa victoire
- Quelques minutes après le début de la finale, un coup du sort lui empêche d'utiliser son meilleur atout : c'est en fait grâce à cela qu'il va l'emporter
- A gagné après avoir défendu tout le long comme un escroc, sur une frappe bidon qui aurait dû finir dans la rubrique « faits divers » mais qui va lui donner la gagne
- s'en est surtout sorti parce qu'il n'a pas eu à affronter un seul « gros » de toute la compétition
- Malgré le Brexit, Trump et Leicester, personne n'avait vu venir cet alignement astral 2016/2017 pour les prétendus méchants losers
- Même si ça restera comme le coup tactique du siècle, personne n'admettra jamais que c'est vraiment lui qui a gagné


BONUS : LES « PRESQUE » CANDIDATS… MAIS EN FAIT NON...

### ROUMANIE / FRANCOIS BAROIN 
- Aurait dû être le premier vrai adversaire de la France/Macron, mais a préféré jouer au fantôme en attendant son tour (si ça se présente...)
- Avait de vrais arguments et la jeunesse pour faire jeu égal avec France/Macron

### CROATIE / BRUNO LE MAIRE / NKM / DROITE BOBO 
- On a cru le temps d'un match que l'avenir leur appartenait… mais en fait, non
- Démolis dans la dernière ligne droite par Portugal/Fillon qui leur a mis un contre au bout du suspense

### REPUBLIQUE TCHEQUE / CECILE DUFLOT 
- S'attendait à faire de la figuration auprès des grands, pas à finir dernière dès le début
- N'a toujours pas compris ce qui lui était arrivé

### AUTRICHE / JEAN-FRANCOIS COPE 
- Etait franchement le seul (avec quelques parieurs aventureux) à croire qu'il pouvait aller loin
- Un seul chiffre à retenir : 0,3 (pourcent, frappes cadrées, idées, actions dangereuses, électeurs… on ne sait pas)

### PAYS-BAS / YANNICK JADOT 
- Lorsqu'il s'est rendu compte qu'il allait faire le ridicule et ne pas pouvoir participer à la phase finale, a servi de marchepied de dernière minute à l'Islande/Hamon
- Tous les spécialistes disent qu'il est vraiment super mais on l'a jamais vraiment vu à l'oeuvre...

### DANEMARK / CHRISTIANE TAUBIRA
- N'a même pas cru bon de participer alors que n'aurait pas fait pire que certains
- A déjà eu son instant de gloire au début des années 90, n'a pas l'air d'avoir l'ambition d'aller plus loin
- Vu qu'elle croit déjà avoir savonné la planche une fois au favori en 2002, elle a sûrement pas osé se mêler à la bataille (alors qu'elle n'y était pour rien, il s'était tiré une balle dans le pied tout seul comme un grand)

### UKRAINE / SYLVIA PINEL - VINCENT PEILLON - JEAN-LUC BENNAHMIAS
- Ont redéfini les concepts d'inutilité et de victime expiatoire
- On ne sait toujours pas qui les a autorisé à participer...

### ALBANIE / FRANCOIS DE RUGY – BARBARA POMPILI
- ont cru qu'en trahissant les règles du jeu, en vendant leur cul à France/Macron, ils allaient pouvoir attirer la sympathie du public, et bénéficier en scred d'un petit accessit pour le tour suivant… mais en fait, non
- Sur le papier, c'était sympa mais on ne veut plus jamais les revoir

### IRLANDE / HENRY DE LESQUEN
- Etait bien décidé à « rémigrer » Thierry Henry une bonne fois pour toute, mais encore raté...
- Comme à son habitude, a proposé un système de jeu périmé depuis le XIXème siècle assez difficile à prendre au premier degré, voire relativement effrayant pour les non-initiés
- A fait le gros troll sympa sur les réseaux sociaux tout le tournoi : une bonne façon de ne pas s'ennuyer entre deux matchs

### SUISSE / FRANCOIS BAYROU
- Après avoir offert une opposition molle et s'être fait arracher son maillot, a décidé de laisser France/Macron aller au titre sans le gêner
- N'a rien compris quand Pologne/Lassalle a décidé d'aller plus loin que lui
- N'a servi à rien comme la fois d'avant, comme celle d'avant, et celle d'encore avant

### SLOVAQUIE / HENRI GUAINO – LAURENT WAUQUIEZ 
- Ont cru un temps que la copie ferait vraiment jeu égal avec l'original
- L'histoire ne retiendra même pas leur non-match face à l'Allemagne/Le Pen, une véritable branlée tactique

### SERBIE – SLOVENIE / MICHELE ALLIOT-MARIE - RAMA YADE 
- Relativement sexy sur le papier mais ultra limité… on va dire que l'important c'était de participer ! Enfin, si elles ont participé, en fait… (m'en rappelle plus...)


BONUS DU BONUS : « LES PAS CANDIDATS DU TOUT DU TOUT »

### BRESIL / BARACK OBAMA 
- Celui que tout le monde aurait aimé voir… mais désolé, pas possible pour cette compétition !

### COSTA RICA / NICOLAS HULOT 
- Jeu léché, thématique essentielle… mais désolé, c'est pas le bon continent

### FIDJI / ALEXANDRE JARDIN 
- Désolé, c'est ni le bon continent ni le bon sport

### ALGERIE / ANGELA MERKEL 
- Ne fait pas partie de la compétition pourtant a l'air d'être le sujet principal qui revient toujours sur la table
- On voit ses drapeaux partout, au coeur de toutes les analyses, toujours à la télé ou sur Twitter à envoyer du bois même si c'est hors-sujet


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